miércoles, 6 de agosto de 2008

El Amor

Si pudiera dejar que mi alma saliese de mí y se teletransportase sola, sería feliz.
Sólo deseo encontrarme contigo, no me importa dónde, no me importa de qué manera, no me importa que no digas nada, no me importa lo demás, sólo me importas tú.

Cuántas veces a lo largo del día me imagino que estoy bajo tus brazos, cuántas veces sueño que me besas bajo el Sacré-Coeur mientras el tiempo se detiene para que permanezcamos juntos lo máximo posible...

No le encuentro sentido a nada, no quiero estar en ningún otro lugar dónde no estés tú. No me gusta escuchar a las personas que tengo a mi alrededor, ninguna tiene tu voz; ninguna me interesa, sólo tú.

Me imagino qué estarás haciendo, dónde estarás, qué linea de metro recorrerás hoy, de qué color es el cielo parisino bajo el que te encuentras, cuántos momentos del día consumes pensando en mí; en esa chica que sólo con verte quedó prendada, esa chica que dedica la mayor parte del día en pensar en ti, esa chica que siente que se asfixia en el mundo si no te tiene cerca, esa chica que se siente pequeña porque no te tiene aquí.

El amor es muy bonito, es maravilloso, cuando estás enamorada sientes que rozas el cielo con la punta de los dedos.
El querer a una persona con todas tus fuerzas y no tenerla cerca para poder demostrárselo es jodido, es una mierda, es doloroso.

Hoy puedo decir "touchée", el amor ha vuelto a hacer de las suyas...

martes, 5 de agosto de 2008

À Fleur de Toi (Vitaa)

Je peux dire seulement que cette chanson me fait penser à toi. J'ai essayé de t'oublier mais je n'y arrive pas :(.



Les jours passent mais ça ne compte pas
J'ai tant de mal à vivre, ivre
De ce parfum si différent du tien
Pire, j'ai compté chaque minute qui me retient à lui
Comme si j'étais ma propre prisonnière
Ca fait bientôt un an qu'il m'a sauvé de toi
Souvent je me demande où j'en serais pour toi
Souvent je me demande ce que tu fais, où tu es, qui tu aimes...
Sors de mes pensées
J'ai changé d'adresse, de numéro merci
J'ai balancé tes lettres et tes défauts même si
J'ai fait semblant d'avoir trouvé la force
Je garde au plus profond de moi tout c'que tu m'as aimé

{Refrain:}
J'essaye de t'oublier avec un autre
Le temps ne semble pas gommer tes fautes
J'essaye mais rien n'y fait je ne peux pas, je ne veux pas,
Je n'y arrive pas, je ne l'aime pas comme toi
J'essaye de me soigner avec un autre
Qui tente en vain de racheter tes fautes
Il semble si parfait mais rien n'y fait je capitule,
Je ne peux pas je ne l'aime pas comme toi

Lui, il a tenté de me consoler
Même s'il n'a pas tes mots ni ton passé
C'est vrai mais il n'a pas ton goût pour la fête,
Pour la nuit pour les autres, pour tout ce que je hais
Il a séché toutes mes larmes, tu sais
Il a ramassé tes pots cassés
Et il a réglé tous tes impayés, tes impostures, tes ratures
Tout ce que tu m'as laissé
Il m'aime comme un fou et me connaît par coeur,
Il me dit je t'aime parfois durant des heures
Mais il ne sent pas ton odeur
Pourquoi je te respire dans ses bras
Sors de mes pensées

{au Refrain}

Je ne l'aime pas comme toi
Dis moi seulement pourquoi ?
Tu me restes comme ça...
Je veux t'oublier
Reprends tes rêves et disparaît
Car je veux l'aimer comme toi...

sábado, 2 de agosto de 2008

Ferme les yeux et imagine-toi (Blacko feat Soprano)

Refrain (Blacko) :
Ca n’arrive qu’aux autres on n’réalise pas tant que ca ne nous touche pas
On sait trés bien c’qu’y s’passe ailleurs mais on ose se pleindre
Relativise ferme les yeux imagine-toi
Tu verras comme ta vie est belle

Soprano :
Ferme tes yeux et imagine ta vie
Dans ces pays où les hommes politiques sont en tréhis
Où la liberté d’expression est une conspiration
Où le dollar civilise avec des canons
Où on peut mourir d’une simple fiévre
Où les épidemies se proménent sans laisse
Crois-tu vrément tenir sous la canicule
De ces pays où pendant 2 mois tu bronzes
Eux toute l’année ils brulent
Imagine ta vie sans eau potable
Une douche les jours de pluie
Pas d’bouffe mise sur la table
Imagine toi dans un hôpital
Avec une maladie incurable
Une maladie qui t’juges coupable
Imagine toi enfermé comme Natasha Kampusch
Ou brulé comme Mama Galledou dans l’bus
Ouvre les yeux maintenant
Et avant d’insulter la vie, réfléchit dorénavent

Refrain (Blacko) :
Ca n’arrive qu’aux autres on n’réalise pas tant que ca ne nous touche pas
On sait trés bien c’qu’y s’passe ailleurs mais on ose se pleindre
Relativise ferme les yeux imagine toi
Tu verras comme ta vie est belle

Blacko :
Ferme les yeux et imagines-toi quelque part en Afrique
Dans un village bati de terre sous un soleil de plomb
Imagine l’air chaud et lourd, cet étendu désertique
Ce maigre troupeau de chévre ( ???un gamin et son baton ???)
Imagine cette longue marche que tu dois accomplir
Afin que tes bêtes puissent paître et se rafraichir
Ces 30 bornes à faire, ces voleurs de betails et leurs kalachnikovs qui tirent sans réflechir
Imagine Madagascar et ses montagnes d’ordures
Imagine tes 8 ans et tes pieds sans chaussures
Imagine tes mains dans les détritus
Pour un bout de pain mais tu t’y habitues
Imagine Paris et son péripherique
Quelque part sous un pont pas loin du trafic
Imagine toi sous un duvet salle
Luttant contre le froid, luttant contre la dalle
Maintenant imagines-toi, dans ta voiture, bloqué dans les embouteillages
L’homme sort lentement de sa couverture, l’homme a ton visage
Dis-moi ce que tu ressens, le regardes-tu autrement ?
Avant d’insulter la vie réfléchit dorénavent

Refrain (Blacko) :
Ca n’arrive qu’aux autres on n’réalise pas tant que ca ne nous touche pas
On sait trés bien c’qu’y s’passe ailleurs mais on ose se pleindre
Relativise ferme les yeux imagine toi
Tu verras comme ta vie est belle

Soprano :
Karl, imagine toi sans la musique, la santé abimée par les 3-8
Les allés-retour aux ASSEDIC

Blacko :
Saïd imagine toi sans cette réussite, en galère, juste le SMIC
Prisonnier de cette tour de brique

Soprano :
Moi j’ai quoi sans Snip’a
Moi sans psy4 et ces bons moments qu’d’autres ne connaissent pas

Blacko :
Imagine un peu nos vies sans tout ça
C'est pour ça, remercions Dieu pour tout ça
Pardon pour les jours où j'me plains
Les jours où je ne vois que moi, mon nez et pas plus loin

Soprano :
Pardon pour toutes ces fois où j'ai grossi mes problèmes
Pour toutes ces fois où j'ai fais tourner le monde sur moi même

Blacko :
Ferme tes yeux juste une seconde
Vois la misère du monde
Et ta place dans tous ça

Soprano :
Prenons conscience de la chance qu'on a
Et tu verras peut être que la vie est belle

Blacko : Blackoooo , Sopranooooo

Refrain (Blacko) (X2) :
Ca n’arrive qu’aux autres on n’réalise pas tant que ca ne nous touche pas
On sait trés bien c’qu’y s’passe ailleurs mais on ose se pleindre
Relativise ferme les yeux imagine toi
(Soprano)Tu verras comme ta vie est belle


martes, 15 de julio de 2008

Golpe bajo

Un golpe bajo, eso es lo que ha sido; un golpe bajo.

Cuando eres sincera con alguien hasta tal punto que no duermes tranquila cuando no le has contado algo y esa persona te hace una jugada muy sucia, eso es un golpe bajo.

Vergüenza, una vergüenza absoluta pos intentar ser cordial y quedar como una gilipollas delante de todas las personas que te conocen.

Desilusión al pensar que hasta el más bueno de todos te puede hacer daño.

Un golpe bajo, eso ha sido; un golpe bajo.

domingo, 18 de mayo de 2008

España vs Francia

Es tal el contraste de un país o otro que aunque cerrase mis ojos con todas las fuerzas y pensase que me encuentro en España, jamás sería creíble.

No se respira el mismo ambiente, la gente no se parece en absoluto, la comida es pésima y sobre todo los horarios para comer (a las 12 no soy capaz de ponerme a comer, como mucho a desayunar). Las tiendas cierran a las 7 de la tarde y las que se encuentran en centros comerciales algo más tarde (a las 8 no os vayáis a pensar que es a las 10 como en España), o sea que si sales de clase a las 18:30 y aún no has comprado tienes que correr más que el tío de los bollos para poder comprar algo (ya que a las 18:45 te están mirando mal por permanecer en el establecimiento).

Comprendo que no todos los países son iguales, sé que no todas las personas son iguales incluso si pertenecen al mismo país pero de lo que me he dado cuenta es que los franceses sí son iguales.

No es que todos tengan la misma personalidad (que incluso a veces lo pienso) sino que actúan con los extranjeros de la misma forma;no son personas extrovertidas, ni amables ni tan si quiera serviciales...

Además tanto que dicen que en las discotecas españolas los españoles actúan como buitres no sabéis cómo lo hacen ellos en su ambiente.
Son super acosadores, no te dejan tranquila e incluso recuerdo que un día salimos y un francés no me dejaba tranquila, uno de mis amigos se acercó haciéndose pasar por mi novio y el tío le increpó; le dijo que tenía que entender que en Francia aunque una chica tenga pareja y salga esa noche con él ¡¡¡los chicos franceses pueden hablar con ellas y darle el coñazo!!!!.

En España hay tíos babosos, lo sé, pero en cuanto le dices a uno de esos personajes que se separe de ti y que pasas de su jeta, el individuo tiene bastante amor propio como para saber que debe retirarse, los gabachos no.

Aún así no puedo evitar emocionarme cada vez que escucho ese acento que tienen los cabrones, esa pronunciación que cuando hablan parecen que están tarareando la más bellas de las melodías que existen...

Amo la lengua francesa, amo muchísimos rincones de Francia pero no señores, para nada amo a los franceses.

martes, 6 de mayo de 2008

Mi Erasmus

Para quien no lo sepa aún desde Septiembre me encuentro en Saint-Étienne; una ciudad al sureste de Francia y que pertenece al departamento Rhône-Alpes.

He hablado muy poco de mi estancia en tierras gabachas (por no decir nada en absoluto xD) por eso creo que es justo que comente un poco mi vida aquí.

La verdad es que aún recuerdo cuando me dijeron que mi destino Erasmus sería Saint-Étienne; la verdad es que no tenía ni idea que una ciudad con ese nombre existía, no tenía ni idea de situarla en un mapa francés, no sabía a qué departamento pertenecía...

Pero todo eso me daba igual, me emocionaba la idea de poder vivir un día en ese gran país, en esa gran República, la France.

Pero pienso que tenía una idea equivocada de los franceses, de su "politesse", de sus buenas formas, de esos modales que sólo ellos saben tener; me equivoqué.

En primer lugar no son para nada serviciales, te ven más perdida que el barco del arroz y no son capaces de echarte una mano, no son capaces de dejarte los apuntes, no te dicen si hay un cambio de clase...

Incluso he tenido problemas con el coordinador de mi facultad que se atrevió a decirme:

-D'où tu viens? d'Espagne non? Tu dois être habituée. On fait les choses là bas avec toute la tranquilité du monde.

Claroo ¡qué listo nos ha salido el gabachito de los cojones!. Todo esto vino porque necesitaba su firma en un documento oficial y me tuvo más de un mes mareada para conseguir la firma.

He de decir que he estado en París y he quedado maravillada por la ciudad, sobre todo por mi monumento preferido (le Sacre coeur) y por el barrio más bonito de todo París (Montmartre) jamás me cansaré de pasear por esas calles llenas de pintores...

Pero lo que aquí denuncio es el trato de los franceses a los españoles, esa superioridad que tienen sobre nosotros, esa chulería, esa prepotencia.

Cuando en mi facultad (de Granada) viene un Erasmus enseguida intentamos interesarnos por él, intentamos integrarlo en nuestro grupo e intentamos ayudarlo en todo lo posible.

Aquí no saben lo que es el significado de la palabra ayudar, jamás pensé que odiaría tanto a los gabachos tras mi estancia en su país.

Por cierto los gabachitos que estudian español no tiene ni puuuta idea. Es muy fuerte que una persona en su último año de carrera (filología hispánica) no sepa traducir la preposición "vers" al español (hacia). Vamos que yo en un examen de lengua francesa no sé traducir "hacia" al francés y me crujen viva vayaa.

En fin que no es oro todo lo que reluce, no os penséis que los gabachos son los reyes de la amabilidad porque para nada es así.

¡Viva España! (sólo faltaría que fuese republicana pero.... xD).

miércoles, 23 de abril de 2008

De ma Fenêtre

-Me gusta "regardear" a través de mi ventana; me divierto con cada persona que pasa. Me fascina imaginarme la vida de cada una de esas personas anónimas (o no tan anónimas) mientras caminan sin percatarse de mi mirada.

Veo jóvenes, ancianos, merdellones sin frontera,jovencitas demasiado horteras,chulos de barrio con sus carros tuneaos mientras esperan a su merde con la música a todo volumen,chicas guapas pero que sólo se preocupan en que si los zapatos les combina con el bolso...

Observo a todos y pienso...

¿Me he perdido algo, o es que en este barrio las aspiraciones de todas las chicas de mi edad coinciden?. Veo a mis amigas de toda la vida pasar frente a mi ventana con sus carros, sus niños ya casi criados, hablado entre ellas de lo mucho que se parece su niño a su padre, a su abuelo, a su tía, etc.

Cuando en alguna ocasión me he encontrado con alguna de ellas se sorprenden de las cosas que les cuento,las cosas que vivo en otros países,esas cosas que me gustan hacer, pero parece que la rara soy yo.

Yo soy la extraña que no se ha dedicado a buscar un novio, ponerse a críar niños y vivir toda su vida en este barrio de mierda trabajando limpiando escaleras (cosa que respeto como cualquier trabajo pero pienso que en esta vida las mujeres debemos aspirar a algo más...),yo soy la que se ha dedicado a estudiar, a vivir fuera de este barrio y a conocer un poco más el resto de culturas.

Pero bueno parece que me tengo que limitar a escucharlos, observarlos desde mi ventana y aprender a opinar sin que me escuchen ;P.

martes, 22 de abril de 2008

Me recuerda a ella (Sergio Contreras)

Voilà una canción que acabo de escuchar por primera vez y no me he podido resistir a escribir aquí su letra; ya de paso adjunto el video porque la canción es realmente maravillosa :P.




Tus ojos son dos luces al alba,
las que alumbran mi caminar,
tus besos son mi veneno
que cada día bebo y es que por ti muero.
Me han dicho que eras diferente,
que estás medio loco, loco de atar,
tus palabras no pueden ser mas sabias
llevo tu sangre, no pares de amar.
Tu vida una enciclopedia
sobre un mundo que no vi,
una imagen flamenca, gitana
que borra el amanecer gris.
Tus manos son palomas al aire
cuando un toque hay que escuchar,
esa guitarra cansada y herida
que en la calle de la judería
se pierden de madrugá.

Te llena de esencia en tu silla de nea,
la guitarra en tu pecho
acariciarla quisiera,
siento que se parte el alma
cuando llega el alba y estoy a tu vera.
Te llena de esencia en tu silla de nea,
la guitarra en tu pecho
acariciarla quisiera,
siento que se parte el alma
cuando llega el alba y estoy a tu vera.

¿Qué hago si to lo que vivo
me recuerda a ella,
si to lo que hago me recuerda a ella?
¿Qué hago si to lo que vivo
me recuerda a ella,
si to lo que hago me recuerda?

¿Qué hago si to lo que vivo
me recuerda a ti,
si to lo que hago me recuerda a ti?
Si esas calles que de tu mano yo recorrí
ahora gritan en tu ausencia,
te echo de menos princesa.
No tengo mucho más pa entregarte,
mi ilusión, mi ternura, mis momentos,
no tengo mucho más que decirte,
que te espero, que te quiero.
¿Cuántas veces preparé un discurso perfecto?
Tratando de mentir y evadir
así mis sentimientos
que hoy cuelgan el cartel de aforo completo
porque de ti estoy lleno.

Las calles de Córdoba se abren pa ti,
esta canción vuela directa a ti,
me sale de dentro al verlo a él sufrir,
vamos a decirlo Felipe,
a ver si empieza así.
Tus manos son palomas al aire
cuando un toque hay que escuchar,
esa guitarra cansada y herida
que en la calle de la judería
se pierden de madrugá.

¿Qué hago si to lo que vivo
me recuerda a ella,
si to lo que hago me recuerda a ella?
¿Qué hago si to lo que vivo
me recuerda a ella,
si to lo que hago me recuerda?


miércoles, 16 de abril de 2008

¿Quién te dijo eso?

Quién te dijo que yo me olvidé de ti,
que me duermo tranquila, y jamás sueño contigo
que pase de todo quién te dijo eso
si cuando el cielo se enfurece vienes vestido de lluvia
y cuando el sol desaparece
llegas plateado de luna.

Quién te dijo que yo ya no pienso en ti
que es historia pasada el amor que me dabas
que pasé de todo quién te dijo eso
si cuando el viento entre a los gritos, reconozco tus palabras

Y cuando el fuego va apagándose
tu cuerpo se me escapa...

¿Quién te dijo eso?
no le creas que ya no te quiero
ay cuánto cuánto te mintieron
¿quién te dijo eso?
si me queda una casa vacía
si me falta un pedazo de cielo
ay quién te dijo eso

Quien te dijo que yo no luché por ti
que bajé los brazos dejando entrar el fracaso
que pasé de todo, quién te dijo eso
si estoy quemándome en el hielo, traicionero de tu frío,
si de tanto que te lloro como una loca me río...

¿Quién te dijo eso?
no le creas que ya no te quiero
ay cuánto cuánto te mintieron
¿quién te dijo eso?
si me queda una casa vacía
si me falta un pedazo de cielo
ay quién te dijo eso.

Se me acorta la vida, se me muere la esperanza
ya no puedo hacer nada, nada me alcanza
yo solamante quisiera, que el mundo no te mintiera...

Y supieras que estoy desesperada
como un pez que se ahoga en su propio mar

¿Quién te dijo eso?
no le creas que ya no te quiero
ay cuánto cuánto te mintieron
¿quién te dijo eso?
si me queda una casa vacía
si me falta un pedazo de cielo
ay quien te dijo eso.

martes, 15 de abril de 2008

Para ti sería (Nek y Raquel del Rosario)

Bueno lectores aquí os dejo la letra de una canción que me encanta; se trata de un dueto formado por Nek y Raquel del Rosario.

No hace falta que diga que me identifico con la letra ¿noo? jajaja.


Yo no te pido nada
con tu saludo indiferente, me basta
tú ya no me haces daño,
Tus cosas no me duelen,
no vales más que aquella luna oscura
recuerda que, decías que...

Para ti sería, tu latido intenso y grande
quédate otro día
no sigamos tan distantes
entre cada espera entre tú y yo
yo no confundí jamás,
otros brazos nuevos con los tuyos.

Bromeas y te ríes
te sientas y me excluyes
siento encima sonrisas que conozco
sonrisas que acarician
cuando éramos tierra y estrellas,
ahora, si quieres tú, me quieres tú...

Para ti sería, tu latido intenso y grande
quédate otro día
no sigamos tan distantes
entre cada espera entre tú y yo
yo no confundí jamás...

Tus pensamientos rozándome
voy a tu encuentro es lo más importante...

Para ti sería, tu latido intenso y grande
quédate otro día
ya no estamos tan distantes
que lo que hubo entre nosotros dos
no lo confundí jamás

Tus pensamientos rozándome
hasta el pasado se rinde al presente...

sábado, 5 de abril de 2008

Llorar no es malo

El llanto es algo natural, tenemos que aprender a vivir con él.

Desde mi punto de vista una persona que no llora no siente, no es capaz de ponerse en el lugar de los otros y se trata de una persona fría.

Durante alguños años mis ojos se encontraban secos, no tenía ningún motivo para llorar y me sentía feliz por ello´; jamás pensé que algunos meses después iba a convertirme en un mar de lágrimas constante.

De verdad que no entiendo cómo tengo esa capacidad de llorar, no me explico como recién levantada ya tengo lágrimas en los ojos, no sé por qué me siento así.

Pensé que lo superaría, pensé que ya había logrado lo más importante, pero como siempre.... ¡Me equivoqué!.


Sigo pensando en ti, sigo pensando en los momentos que hemos vivido juntos y sigo sin encontar la explicación que me deje dormir por las noches.

Sólo tengo ganas de llorar, llorar hasta que me ahoge en mis propias lágrimas...

jueves, 3 de abril de 2008

Cogito ergo sum

No sé si me gusta diferenciarme de los animales; se supone que los que no hace diferentes de ellos es nuestra capacidad para razonar. Pienso que en determinados momentos de mi vida me gustaría ser un animal, actuar como ellos, no tener miedo a tomar una decisión equivocada, vivir siempre dependiendo de mi instinto.

René Descartes (gran filósofo francés) dio a conocer su teoría del "Cogito ergo sum" traduccido al castellano algo así como "Pienso luego existo".
Según este filósofo el pensamiento es algo que nos hace diferentes de otras especies, cuando una persona piensa quiere decir que esta persona existe.

Me gustaría tener la capacidad de no pensar, me encantaría poder dejar la mente en blanco a mi antojo pero para mí eso es imposible.

Siempre le doy mil vueltas a las cosas, no puedo dejar de pensar lo que piensan de mí, soy una esclava de mis pensamientos y eso es algo que detesto profundamente.

Descartes es mi filósofo favorito; desde que lo estudié en bachillerato no he podido dejar de buscar información sobre sus teorías y la verdad que estoy muy de acuerdo con varias de ellas.

Pero ahora Descartes se ha convertido en mi verdugo...

domingo, 3 de febrero de 2008

¿Se pueden borrar los recuerdos?

Ayer me puse a ver por internet el último capítulo de los hombres de paco emitido por Antena3, en dicho capítulo Mariano visita a un médico encargado de borrar los recuerdos que atormentan a las personas.
Este le dice a Mariano que se lo piense bien ya que el tratamiento puede tener unos efectos secundarios durísimos (como daños cerebrales irreparables, tumores, pérdida total de la memoria, y un largo etcétera).

Aún así Mariano decide someterse a dicho tratamiento con la esperanza de poder borrar los recuerdos que lo atormentan (haberse liado con la mujer de su mejor amigo).

Al ver esto en la serie me ha dado por pensar que a mí también me gustaría borrar muchos recuerdos de mi cabeza; me encantaría poder deshacerme de todas las cosas que me atormentan por las noches y que no me dejan descansar tranquila. Pero claro, tampoco me gustaría borrar todo mi disco duro, sólo quisiera hacer desaparecer unos cuantos archivos innecesarios para mí.

No sé si esa técnica existirá en la realidad, tampoco sé las consecuencias que puede acarrear un acto de semejante magnitud pero lo que sí sé y con bastante certeza es que acabaría con este insomnio que no me deja vivir tranquila.

También es cierto que nadie merece caer en el olvido pero cuando una persona te ha hecho tanto daño ¿acaso no es mejor borrarla de la mente?.

Sé que es la solución más fácil, sé que los problemas se deben afrontar por uno mismo, pero también sé que como no se borren mis recuerdos rápido voy a terminar por volverme mucho más loca de lo que estoy ahora...

sábado, 2 de febrero de 2008

Después de tanto tiempo, he vuelto

Pues sí, pensé que esta bitácora se había ido a pique, pensé que jamás volvería a escribir en ella...

Pero hoy me he puesto a releer los artículos que había escrito y me he dado cuenta que no merece la pena cerrarla; esta ha sido mi pequeña vía de escape, me ha servido para autoayudarme en los momentos en que no era capaz de pronunciar una sola palabra y creo que no es justo que acabe con ella.

Me da igual no tener ningún lector, me da igual que no me dejen comentarios, lo único que intento es desahogarme escribiendo lo que me pasa para un día leerlo y pensar que siempre la vida va a mejor.

Ha llovido mucho desde mis últimos artículos pero me he percatado que sigo teniendo los mismos miedos, sigo siendo esa pequeña niña que espera que alguien la comprenda, aquella ilusa que siempre ha soñado con una vida un poquito mejor, aquella chica que perdió la ilusión por todo el día en que se dio cuenta de que estaba realmente sola.

No me importa que la gente piense que esta bitácora es muy aburrida, es más, esto sólo lo hago para mí. Me gustaría darme cuenta que siempre tendré un hombro (o en este caso un espacio) dónde poder llorar cuando lo necesite, dónde poder reír cuando me apetezca y dónde pueda recordar que las palabras es lo más bonito que tenemos los seres humanos.

A partir de hoy queda abierto de nuevo este crepúsculo, este espacio dónde puedo ser yo misma.